• 152 pages
  • Livre broché
  • 12.5 x 19 cm
  • Domaine étranger
  • N° dans la collection : 102
  • Parution :
  • CLIL : 3444
  • EAN13 : 9782251456522
  • Code distributeur : 77143

Candido ou un rêve fait en Sicile

Traduit de l’italien par Nino Frank.

Extrait Audio

Présentation

Aux problèmes compliqués de l’Italie de l’après-guerre, Candido apporte des réponses simples, trop simples. Parce qu’il fait naturellement confiance aux hommes, il se heurte à tous les adeptes de la combinazione, les démasque et les ridiculise : dirigeants démocrates-chrétiens, militants communistes, riches propriétaires, prêtres et magistrats…
Dans la Sicile de Sciascia, Candido n’est pas moins provocateur que le héros de Voltaire.

Extrait

Biographies Contributeurs

Leonardo Sciascia

Leonardo Sciascia (1921-1989) est un écrivain italien connu pour ses observations philosophiques portant sur la corruption politique et le pouvoir arbitraire. Sciascia a étudié à l’Institut Magistrale de Caltanissetta. Il a occupé des postes de bureau ou d’enseignant pendant une grande partie de sa carrière, prenant sa retraite pour écrire à plein temps en 1968. Sa carrière politique a commencé en 1976, alors qu’il était membre du Parti communiste au conseil municipal de Palerme. Plus tard, Sciascia fut membre du Parti radical au Parlement italien ; il a été élu au Parlement européen en 1979.

Table des matières

Au monde et de la raison pour laquelle il reçut le prénom de Candido
Des doutes que nourrit Maître Munafo à propos de sa paternité, et des tracas qui s’ensuivirent
Du départ et du retour d’Hamlet, et de ce qu’il advint à Maître Munafo, qui le méritait bien, et à Candido, qui ne le méritait guère
De la solitude de Maître Munafo, et de celle de Candido
De la manière dont Candido parvint à l’état presque absolu d’orphelin, et du risque qu’il courut d’avoir à émigrer à Helena (Montana)
Du blâme pitoyable dont Candido fut l’objet de la part du général, de la famille et de presque toute la ville, et de son comportement dès lors qu’il en prit conscience
Du souci qu’avaient le général et Concetta de l’éducation de Candido ; et de la décision que prit le général de lui donner, comme au bon vieux temps, un précepteur
Des choses dont Candido et l’archiprêtre discouraient ; et des ennuis qui en résultèrent pour le général
Du pouvoir que Candido ignorait qu’il détenait sur son prochain le plus proche, et de ses impressions et actions quand il l’apprit
Du crime mystérieux dont Candido et l’archiprêtre furent amenés à découvrir l’auteur ; de la condamnation qui leur en vint de la part de la ville tout entière et, pour l’archiprêtre, de ses supérieurs eux-mêmes
De la tentative que firent l’ancien archiprêtre de se mettre à cultiver son jardin, et Candido, ses terres, et des déceptions qui leur en vinrent
Du voyage que Don Antonio et Candido firent à Lourdes, et du profit qu’ils en tirèrent, l’un comme l’autre
De l’amour pour les femmes, et pour une femme en particulier, par quoi Candido fut envahi, et des propos que lui tiendra à ce sujet Don Antonio
Du communisme de Candido et de Don Antonio, et des propos qu’ils tenaient entre eux et avec leurs camarades
De la fureur du général à l’endroit de Candido et de Paola, et de l’entrée de Paola dans la demeure de Candido, suivie de la fuite de Concetta
Des admonestations que Candido reçut de son parti, et du procès que l’on commença à instruire à son propos
De la vie que menait Candido entre sa maison, ses campagnes et son parti, et de la proposition qu’on lui adressa et qu’il n’accepta point
Des investigations laborieuses auxquelles se livra le Parti pour identifier Foma Fomitch, et des propos que tiendront Candido et Don Antonio au sujet de ce personnage
De la disparition de Paola, et de ce qu’elle oublia d’emporter avec elle
De la décision que prit Candido de se débarrasser de ses propriétés et de voyager, et de la façon dont sa famille s’employa pour l’en débarrasser
De l’entretien que Candido eut avec un juge et un psychiatre, et du verdict d’interdiction judiciaire qui s’ensuivit
De la manière dont la famille fêta Candido, pour le récompenser de son comportement face au juge et aux médecins, et des ennuis que leur valut cette fête
Des voyages qu’effectuèrent Candido et Francesca, et de leur long séjour dans la ville de Turin
Des voyages de Candido et de Francesca à Paris, et de leur décision de s’y fixer
Des lettres qu’échangeaient Candido et Don Antonio, et du voyage que Don Antonio fit à Paris
De la rencontre que Candido fit de sa mère et de la soirée qu’ils passèrent ensemble, ainsi que de la manière dont, ce soir-là, il parvint à se sentir heureux
Note de l’auteur

Informations détaillée

  • 152 pages
  • Livre broché
  • 12.5 x 19 cm
  • Domaine étranger
  • N° dans la collection : 102
  • Parution :
  • CLIL : 3444
  • EAN13 : 9782251456522
  • Code distributeur : 77143