Nos sélections de livres choisis

Croyances plurielles dans l'Antiquité

Ne boudez pas Bouddha

Nos livres primés en 2020

Tout Homère, vraiment tout !

"Homère, c’est un nom. Un nom qui rassemble à la fois l’esprit d’un peuple, son histoire, ses héros, en un mot son âme. Un nom qui sonne comme la date de naissance de notre Histoire.Homère, c’est un monde. Celui des Grecs au début de leur civilisation, de leurs guerriers méprisant la mort, de leurs marchands subtils et explorateurs aventureux et de leurs dieux cruels et sublimes.Homère, c’est un art. Celui de l’aède, père de la poésie, qui imagine l’au-delà de vieux récits.Homère et ses disciples ont eu pour écouter leurs chants toute l’Hellade, puis tous les hommes...

Banquet de livres

Gouverner : nos sources

Plumes italiennes du 20e siècle

Nos dictionnaires et manuels

Que vous trouviez refuge dans les pages épaisses d'un dictionnaire ou contre le dos souple d'un manuel, votre curiosité s'en trouvera comblée ! De la France médiévale aux pyramides égyptiennes, en passant par l'Empire du milieu, voici quelques indispensables pour discourir en tout temps et en tout lieu. 

Notre constellation de livres

Cultiver son Jardin

« Un Épicurien, en effet, n’est jamais seul (même si ses amis sont loin de lui), car on ne peut être heureux seul. J’entends par « Épicurien », avec une majuscule, le disciple ou, comme Littré, le « secateur » d’Épicure, par diVérence avec l’« épicurien », sans majuscule : le « voluptueux » (Littré), celui qui « ne pense qu’au plaisir » (Petit Larousse). Un certain F.-U. Wrangel a publié un Choix de lettres intimes d’un épicurien du xvii e siècle, le comte suédois Jean Oxenstiern (éd. Chevrel, 1917). Or ce personnage nous est décrit comme « ayant ruiné sa...

Un supplément d'âme

Le 8 juin 1978 Alexandre Soljénitsyne disait aux étudiants de l'université de Harvard :« Non, je ne peux pas recommander votre société comme idéal pour transformation de la nôtre. (…) Nous avions placé trop d’espoirs dans les transformations politico-sociales, et il se révèle qu’on nous enlève ce que nous avons de plus précieux : notre vie intérieure. À l’Est, c’est la foire du Parti qui la foule aux pieds, à l’Ouest la foire du Commerce : ce qui est effrayant, ce n’est même pas le fait du monde éclaté, c’est que les principaux morceaux en soient atteints d’une maladie analogue. »

Métamorphoses de la nature, histoires du vivant

“Le monde, ou, ce que l’on est convenu d’appeler d’un autre nom, le ciel, qui embrasse tout dans ses replis, doit être considéré comme une divinité éternelle, immense, sans commencement et sans fin. Rechercher ce qui est en dehors est sans intérêt pour les hommes, et au-dessus des conjectures de leur esprit. Le monde est sacré, éternel, immense, tout dans tout, et, à bien dire, il est lui-même le tout ; infini, il semble être fini ; possédant la certitude de toutes choses, il semble livré à l’incertitude ; au dehors, au dedans, il renferme tout en soi ; il...

Pour une santé magique

Nos contes à rêver debout

« Une critique, parue en 1836, m’amuse plutôt aujourd’hui, mais à cette époque m’attrista. On y disait :"Les enfants pourront-ils s’intéresser à cette lecture ? Assurément non. Y trouveront-ils un exemple moral ? Peut-on même garantir que ces récits ne soient pas jusqu’à un certain point nuisibles ? Personne ne contestera que le sentiment de pudeur, inné chez l’enfant, ne saurait être stimulé en lisant qu’une princesse endormie est emportée sur le dos d’un chien chez un soldat qui l’embrasse et quela princesse éveillée raconte son aventure comme un rêve étrange." » H.C. Andersen, Le Conte de ma vie

Rhétorique à domicile